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Culture

Rencontre : Da Break backstage

Respectivement chanteuse et batteur de Da Break, un groupe programmé ce 12 juillet aux Fêtes escales, Jennifer “Hawa” Zonou et Rémy Kaprielan nous ont reçus derrière la scène.

Photo Emmanuel FOUDROT

Vous étiez programmé l’an dernier mais le mauvais temps vous a contraint à annuler le concert. Vous devez être heureux de vous retrouver ici ?
Hawa : Nous ne sommes pas encore sur scène.
Rémy : Nous sommes contents d’être là, nous avons attendu une petite année.

D’où vient le nom du groupe ? Break, c’est la rupture avec ce qui s’est fait avant ?
R. : C’est un mot en rapport avec la culture break dance : le break beat, la base rythmique. Nous avons rajouté Da, qui signifie « the » dans l’argot slang. Une partie de ma famille vit aux États-Unis et j’avais un t-shirt avec « Da Butt », « mes fesses ».

Quand s’est formé le groupe ?
H. : C’était en 2017 et nous avons sorti notre premier album en 2018. Nous étions trois à l’époque et c’était un projet studio au départ. Le label La Ruche a entendu le projet, ça s’est enchaîné et nous avons eu la chance d’avoir un tourneur.

Même s’il est parfois curieux de toujours vouloir coller des étiquettes, comment définir votre musique ?
R. : C’est un mélange de plein de choses, basées sur la culture hip-hop et le RnB. Nous avons également un socle de soul et de groove, porté par Hawa.

Parlez-nous de Steady, votre nouvel album…
H. : Il est sorti le 14 juin. C’est une parenthèse enchantée. Nous sommes allés au bout d’une envie, d’un plaisir. Il ne sort pas de nulle part mais a la même dynamique que notre premier album. Avec sa spontanéité, il rend hommage au rock steady et au reggae des 70’s à travers nos propres morceaux.

On va l’entendre ce soir ?
R. : Non, nous venons défendre ici notre troisième album, sur lequel repose la tournée. Nous y ajoutons un morceau de Steady. À la rentrée, nous allons travailler ce projet reggae.

Vénissieux est important pour vous ?
H. : Il y a eu la résidence à « Bizarre ! » et, avant, tous ces festivals auxquels j’ai assisté en tant que spectatrice, des Nuits métisses aux Fêtes escales. Et mon premier boulot était auprès des personnes handicapées, près du parc de Parilly.

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