Une bonne cinquantaine de personnes ont été attentives, vendredi 1er juillet, place de la Paix, aux discours énergiques et déterminés de Pierre-Alain Millet, adjoint au maire PCF de la Ville, d’Arlette Cavillon, responsable locale du Mouvement de la paix, et d’Aurélien Scandolara, qui représentait la CGT. Tous trois ont appelé les députés de gauche à affirmer leur refus de la guerre en Ukraine.
« Ce sont d’abord les Ukrainiens qui meurent, à l’ouest sous des bombes russes, à l’est sous des bombes occidentales utilisées par l’armée ukrainienne, soulignait Pierre-Alain Millet. Ce sont les peuples qui paient, le peuple ukrainien dans la guerre, les Africains menacés par la famine, les peuples européens menacés par le chômage et l’inflation. »
Et l’élu vénissian d’ajouter : « Les médias et certains dirigeants n’ont de cesse de tenter de nous habituer à cette guerre, et d’organiser une véritable économie de guerre. On nous annonce au quotidien de nouvelles livraisons d’armes, de nouveaux morts. Les communistes appellent toutes les forces progressistes à s’exprimer contre les horreurs de la guerre, mais aussi et surtout à exiger un cessez-le-feu et une solution politique qui repose sur des garanties de paix. »
Propos que reprendront à leur compte Arlette Cavillon puis Aurélien Scandolara, pour souligner l’absurdité de ces milliards dépensés qui auraient pu être redistribués pour l’école, la santé et autres services publics.
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