Depuis dimanche, Gérard Collomb a un rêve : faire passer du côté de la « gauche » les deux conseillers généraux du Parti radical de Jean-Louis Borloo, élus dans le Rhône. Leur ralliement signerait l’échec de Michel Mercier à la présidence du Conseil général du Rhône, qui se joue jeudi. Après tout, rappelle le maire de Lyon, c’est ainsi que j’ai été élu la première fois président du Grand Lyon en 2001.
Serait-ce alors un « coup de génie » -comme certains le disent-, puisque mathématiquement les forces de droite comptent deux conseillers de plus que celles de gauche au Conseil général ? Les conseillers généraux de Vénissieux, Marie-Christine Burricand et Christian Falconnet, ne le voient pas ainsi. Tenant une conférence de presse mardi matin, ils ne cachaient pas leur exaspération : “La République, ce n’est pas la cuisine”, s’indignent les deux élus communistes. Car s’il est question de négociations de siège, on n’entend parler ni de base d’entente ni de programme de gouvernance du département. Une position en plein accord avec celle d’André Gerin, le député de la 14e circonscription du Rhône.
Le maire de Lyon et président du Grand Lyon a donc entrepris de grandes manœuvres pour récupérer à son avantage une situation électorale qui ne l’est pas. La gauche espérait remporter deux cantons supplémentaires parmi ceux soumis à renouvellement. Ce faisant, elle aurait fait basculer le Conseil général de son côté. Au pire, un seul canton aurait suffit : la gauche aurait alors pu remporter la présidence au bénéfice de l’âge, Mme Vottero élue socialiste dans le canton de Saint-Fons étant la doyenne de l’assemblée.
Las : non seulement le PS a perdu le canton de Meyzieu dès le premier tour, mais il s’est également fait souffler deux cantons par des candidats d’Europe Ecologie/Les Verts. Et la « majorité départementale » (car personne ne s’est affiché UMP dans la campagne électorale) a tenu bon sur ses cantons considérés fragiles. Même si la gauche est majoritaire en nombre de voix, grâce au découpage des cantons, c’est bien la droite qui l’est en nombre d’élus.
Cela ne semble pas avoir perturbé outre mesure G. Collomb. Au soir du second tour, il expliquait que tout n’était pas perdu et qu’il était en mesure de l’emporter si un ou deux élus centristes ou de droite se ralliaient à son camp. Les tractations ont aussitôt commencé avec le Parti Radical Valoisien de Jean-Louis Borloo, avec l’aide active du conseiller général du Parti radical de gauche. Les couloirs bruissent aussi de discussions avec l’élu “divers droite” millioniste tombeur de Dominique Perben dans le 6e canton de Lyon.
Les deux élus radicaux doivent dire aujourd’hui pour qui ils voteront jeudi. Cependant, leur positionnement « avec Mercier » ne fait guère de doute. Quant à l’élu « divers droite », il ne dit rien. Mais le principe même de ces négociations choque terriblement Marie-Christine Burricand et Christian Falconnet, qui forment avec Martial Passi, réélu dans le canton de Givors, le groupe communiste du Conseil général du Rhône. Et de rappeler que les radicaux au Département ont toujours soutenu la politique de Michel Mercier, l’un d’eux ayant même été vice-président chargé du budget. “Dès dimanche, G. Collomb a dit qu’il voulait rencontrer Jean-Louis Borloo ! Il ne s’interroge ni sur le vote FN ni sur le niveau record de l’abstention. Mais on est où ? On serait étonnés que la combine aille jusqu’au bout, mais pour nous, il n’est pas question de marcher dans cette direction qui n’honore pas la politique. On trouve même cela inquiétant : est-ce que le PS veut mener campagne à droite pour 2012 ?”
Même réaction du côté du député communiste André Gerin, qui dénonce la « cuisine politicienne ». « Que cela nous plaise ou non, n’ayant aucune complaisance vis-à-vis de Michel Mercier, ministre de la Sarkozie, pour la moralité politique, nous devons respecter le choix des électeurs qui ont donné une majorité de droite au département. » « La politique du Grand Lyon est directement questionnée, poursuit-il. Pour que le balancier revienne un peu plus au service des classes populaires et du monde du travail, avec plus de respect pour la légitimité des maires. Il y a de sérieuses remises en cause à faire car d’autres choix auraient certainement permis à la gauche d’être majoritaire au Conseil général. »
Jean Philippe AÏVAR
30 mars 2011 à 12 h 46 min
Bonjour
je trouve au contraire que la démarche du maire de Lyon est judicieuse. La majorité départementale a un bilan catastrophique: la gabegie du musée des confluence, l’affaire du Rhône express, le rapport de la cour régionale des comptes au sujet du SDIS, les billets pour les matchs de l’Ol et le tournoi de tennis…….
Aujourd’hui le président du CG69 est installé depuis trop longtemps dans un système clientéliste qui condamne la ruralité beaujolaise à financer des projets clinquants.
Le conseil général du rhône doit amorcer un virage à gauche afin de se recentrer sur ses missions sociales. cela doit passer par une alternance dans la présidence. Ce n’est pas de la cuisine, c’est de l’assistance médicale à un patient malade.
Jean Philippe AÏVAR
http://leblogdes2clochers.wordpress.com/
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Aujourd’hui le président du CG69 est installé depuis trop longtemps dans un système clientéliste qui condamne la ruralité beaujolaise à financer des projets clinquants.
Le conseil général du rhône doit amorcer un virage à gauche afin de se recentrer sur ses missions sociales. cela doit passer par une alternance dans la présidence. Ce n’est pas de la cuisine, c’est de l’assistance médicale à un patient malade.
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