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Culture

Retour sur le Jour du livre : une place au soleil

Ce 29 septembre, une journée estivale fut consacrée au livre par l’Espace Pandora aux Minguettes, dans les bibliothèques de quartier et à la médiathèque Lucie-Aubrac. Occasion pour le maire de signer une charte d’accueil de ces structures en direction du public.

 

Que ce soit sur le plateau des Minguettes, où la fanfare Marcel-Frontale fit forte impression sur le marché, dans les bibliothèques de quartier, sur le parvis de la médiathèque Lucie-Aubrac ou à l’intérieur du bâtiment, où les Minguettoises offraient thé et gâteaux, le cinquième Jour du livre a profité, ce 29 septembre, des dernières chaleurs de la saison. Organisé par l’Espace Pandora, en collaboration avec la Ville, la Métropole, l’État et quelques autres partenaires, son offre de choix était telle que le public présent ne pouvait que trouver son bonheur.

Les enfants n’étaient pas en reste qui purent profiter de nombreuses animations : ateliers d’écriture, de création, de machines à écrire, lectures par l’association Lire et faire lire, écoute de contes ou de Bébé bouquine… Les plus grands flânaient dans les stands des éditeurs, s’essayaient à l’écriture auprès de Mohammed El Amraoui, Roger Dextre, Thierry Renard ou Eugène Durif, écoutaient d’autres auteurs encore (Shu Cai et Yvon Le Men, venus respectivement de Chine et de Bretagne) ou méritaient une petite sieste sonore en compagnie de la Tribu Hérisson. Ce fut également l’occasion pour les deux photographes Lucie Moraillon et Antoine Boureau, accompagnés de quelques jeunes de Monmousseau, de présenter le travail photographique accompli dans le quartier et le livre publié dans la foulée par La Passe du vent, Allées 11-21.

C’est ce jour-là également que fut signée par Michèle Picard, à l’intérieur de la médiathèque, une charte d’accueil des usagers, rappelant que l’établissement et les bibliothèques de quartier totalisaient 170 000 entrées par an. « Permettre, expliquait le maire, que chaque Vénissian, qu’il soit petit enfant, collégien ou retraité, puisse avoir, quand il le souhaite, un livre entre les mains, c’est permettre qu’il emprunte ce passage secret vers d’autres livres, d’autres mondes, d’autres connaissances (…) Nous avons fait le choix de maintenir notre budget culturel à hauteur de 8% du budget de la Ville. C’est un choix politique fort, à une époque où les budgets des collectivités sont compressés et que beaucoup d’entre elles ont tendance à sacrifier la culture. »

 

2 Commentaires

1 Commentaire

  1. Bekkairi

    11 octobre 2018 à 9 h 19 min

    Merci encore .je pensais sortir sur le journal qui est paru .merci quand même.bonne journée

  2. Bekkairi

    7 octobre 2018 à 11 h 18 min

    Merci pour ses belles photos

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