“Il y a 10 ans, on nous disait qu’il était impossible d’implanter la droite à Vénissieux, nous l’avons fait ! L’an dernier, on nous disait qu’il était impossible de faire annuler les élections, nous l’avons fait ! Ces derniers mois, on nous disait qu’il était impossible de constituer un large rassemblement, nous l’avons fait !”
Devant un public assez garni (entre 250 et 300 personnes), Christophe Girard avait choisi, hier, de placer son son unique meeting de campagne sous le signe du possible, à dix jours du premier tour de l’élection municipale partielle. “Votre présence ici montre que nous pouvons le faire. Un mouvement s’est levé. Nous allons libérer Vénissieux de 88 ans de communisme.”
Pour étayer son propos, il avait invité les nouveaux maires de droite de l’est et du sud de l’agglomération, issus de la vague bleue de mars 2014 : Laurence Fautra de Décines, Claude Cohen de Mions, Xavier Odo de Grigny et bien sûr le voisin san-priot Gilles Gascon. Tous ont dit leur conviction que Vénissieux pourrait connaître le même scénario qui les a conduits aux affaires.
Christophe Girard a ensuite décliné son programme en onze points, de la restauration de l’efficacité municipale à la baisse des impôts, en passant par l’action pour l’emploi ou encore la maîtrise de l’urbanisme. “Ce projet n’est pas un catalogue de promesses électoralistes, a-t-il martelé, c’est un programme de travail qui s’inspire de succès déjà réalisé dans d’autres villes et que nous allons mettre en place.”
La réunion s’est achevée par une courte prise de parole de l’ensemble des composantes de la liste “Je vote le bon sens”.
Salmon Michel
13 mars 2015 à 14 h 56 min
Toujours le même leitmotiv ! Plus de 70 ans de retard, la ville de Vénissieux a été libérée le 2 septembre 1944, mais cela, Monsieur, c’est de l’histoire ! Cela ne s’apprend pas dans les parcs d’attractions, pas plus à Eurodisney qu’au Futuroscope et encore moins au Puy du Fou !