Ni les ouvriers ni le réseau commercial ne seraient concernés. Le plan de restructuration touchera les cadres et les employés, notamment sur le site de Saint-Priest.
Présenté lundi en comité d’entreprise, le projet de suppression de postes entre dans le cadre d’un plan global de restructuration du groupe AB Volvo, qui prévoit 4400 réductions d’effectifs dans le monde.
Renault Trucks, filiale à 100 % du groupe suédois, conservera l’ensemble de ses sites français mais va perdre 508 emplois. Ni les ouvriers ni le réseau commercial ne seront concernés. À l’inverse des cadres et des employés. Le processus d’information et de concertation du personnel venant tout juste de commencer, il est encore trop tôt pour dire précisément quels sites seront touchés. Mais il paraît acquis que l’établissement de Saint-Priest (siège social, études et recherches, halle du design…) où travaillent environ 2500 personnes, sera concerné au premier chef.
Volvo a indiqué dans un communiqué de presse que le plan “sera mis en œuvre avec la volonté de limiter le nombre de départs contraints”.
Cette annonce intervient quelques jours après la publication des résultats commerciaux de Renault Trucks, qui faisaient apparaître un recul de 16,5 % des ventes en 2013.
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