Connectez-vous avec nous

Bonjour, que cherchez-vous ?

Actus

Le nouveau centre nautique intercommunal sera livré en 2015

La pose de la première pierre du Centre nautique intercommunal de Vénissieux, Lyon et Saint-Fons, ce vendredi 13 septembre, marque l’entrée dans la phase de reconstruction d’un équipement très attendu.

Même si une lourde opération de désamiantage a débuté depuis déjà quelques semaines, la pose de la première pierre du nouveau centre nautique intercommunal, ce vendredi 13 septembre, a officialisé l’entrée dans la phase de reconstruction. Elle a été également l’occasion pour les élus de rappeler que le travail de concertation entre Vénissieux, Lyon et Saint-Fons a été initié dès décembre 2010, une semaine après l’incendie criminel qui a détruit le CNI. Un 28 novembre de désolation.

“Tout au long de ces trois années, les villes de Vénissieux, Saint-Fons et Lyon ont associé leurs forces et leurs compétences dans le cadre d’un partenariat exemplaire et riche d’échanges, soulignait ainsi Michèle Picard, le maire de Vénissieux. Nous posons cette première pierre pour renouer avec le fil d’une mémoire collective écrite par les habitants, de génération en génération, et si cruellement interrompue. Après le temps de l’enquête, des projets, des études de maîtrise d’œuvre, du financement, de la concertation, du choix du lauréat, nous tenons le bon bout.” Christiane Demontès, le maire de Saint-Fons, affirmait à sa suite que « le centre nautique intercommunal restait fidèle à sa vocation initiale — et même davantage qu’en 1971, date de sa création — : être un vecteur de lien social.” Quant à Gérard Collomb, le maire de Lyon, il insistait : “Ce n’est pas un centre nautique vénissian, saint-foniard ou lyonnais, mais bien un équipement d’agglomération.”
Depuis le projet présenté il y a un an par le cabinet d’architectures Xanadu Architectes et Urbanistes, l’équipement a subi quelques modifications. “Elles concernent essentiellement la toiture intérieure, qui ne sera construite qu’avec un seul matériau : le bois, indique David Sumner, l’architecte en chef du projet. Les poutres métalliques apparentes, prévues à l’origine, ont été gommées du futur CNI.” Question d’esthétisque, d’isolation, de résistance aux chocs thermiques. Et sans doute aussi de budget.
Le coût de l’opération est aujourd’hui fixé à 20,9 millions d’euros TTC. « Le surcoût s’explique en raison de certaines contraintes telles que la création d’une entrée spécifique pour les scolaires ou l’installation d’un système de surveillance et d’alarme plus performant, précise Andrée Loscos, adjointe au maire de Vénissieux et présidente du conseil d’administration du CNI. Quant au financement : « Si le Centre national pour le développement du sport a indiqué qu’il attribuerait une subvention de l’ordre de 800 000 euros (N.D.L.R. : chiffre que confirmera dans son intervention Philip Alloncle, préfet délégué pour l’égalité des chances auprès de M. Carenco, préfet de la région Rhône-Alpes), on attend d’en savoir plus avec le Conseil général ”, précise Mme Loscos.

Quant à la date de livraison de cet équipement, elle se situe à l’été 2015 pour la plupart des intervenants… exception faite de Michèle Picard, qui s’est… jetée à l’eau : “Moi, je l’espère pour mars 2015”. Une perspective validée par l’architecte, David Sumner.

Cliquer pour commenter

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous aimerez également

Actus

19 prix ont été décernés dans 6 catégories lors du concours 2024 des balcons et maisons fleuris de Vénissieux.

Actus

Les résultats de cette consultation citoyenne, ainsi qu'un plan d'actions, feront l’objet d’une restitution publique le 6 février 2025.

Actus

Une initiative qui allie l'esprit de solidarité à celui des fêtes de fin d'année, vendredi et samedi, dans les locaux d'Emmaüs Parilly.

Actus

Les habitants des tours gérées par GLH n'ont toujours pas de chauffage. Ils étaient une soixantaine à manifester leur mécontentement ce mercredi matin.

Culture

"Au boulot !" est projeté à partir de ce mercredi à Gérard-Philipe. Quand une grande bourgeoise découvre les réalités du travail précaire.