« Les USA veulent mettre la main sur les ressources pétrolières du Vénézuela, et déguisent cette agression en intervention humanitaire, le coup classique, enrage Hector Espinola. En expert : ce chilien a dû s’exiler après le coup d’état de Pinochet en 1973. Ils sont en route pour leur 68ème intervention contre un pays souverain du continent américain ».
Mardi 26 février, place de la paix à Vénisiseux, s’est tenu le premier rassemblement rhodanien pour protester contre la menace d’intervention militaire américaine au Vénézuela et « affirmer la solidarité populaire avec la révolution bolivarienne ».
Organisée par les sections vénisiannes du Parti communiste français, de la France Insoumise et du Mouvement de la paix, soutenue par la CGT, la JC, le POI, l’initiative à rassemblé près d’une centaine de personnes. Parmi les participants, Michèle Picard, maire de Vénissieux, a stigmatisé les dirigeants européens, dont Emmanuel Macron. « En reconnaissant officiellement l’autoproclamé Juan Guaido comme président intérimaire, ils se rendent complices des drames qui peuvent se produire dans les jours qui viennent, a estimé le maire. Au contraire, la France doit agir auprès de l’ONU pour trouver une issue pacifique aux difficultés que traverse le pays, tout en respectant sa souveraineté ».
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