– Salem Trabelsi, après le départ de Stéphane Paille en Algérie, on ne s’attendait pas forcément à une solution interne. Est-ce que vous, vous y attendiez ?
– Un peu ! Vu le contexte économique du club, la nouvelle équipe de dirigeants n’allait pas tout chambouler. Et faire appel en cours de saison à un entraîneur extérieur au club était loin d’être évident. On est donc dans la logique.
– Paille avait réussi à bâtir un groupe tourné vers le jeu, le beau jeu même, autour d’un projet sportif cohérent. Vous vous placez aussi dans cette continuité ?
– J’étais déjà à ses côtés quand Stéphane Paille a annoncé ses choix et son projet. On a bossé ensemble, je n’étais pas un faire-valoir. Donc, il est évident que je vais assurer le changement dans la continuité… On garde cet esprit d’équipe conquérante, décidée à produire du jeu et à s’imposer.
– Avec les mêmes objectifs que ceux annoncés en début de championnat ?
– En effet. Tout le monde sait que l’on veut monter. Le discours ne va pas être différent, alors que l’ASM fait partie des quatre équipes encore concernées par l’accession en CFA 2.
– Le dernier match de championnat remonte au 14 décembre, avec le succès de l’ASM sur Montélimar, 4-0. Que s’est-il donc passé depuis ?
– Repos, entraînements, matchs amicaux et ce match de coupe de Rhône-Alpes perdu devant Rhône Vallée. Deux joueurs sont partis (Mertani à Dubaï et Aoudia en Australie). Notre attaquant Nabi Touré s’est fait une méchante blessure. Il devrait être opérationnel dans trois semaines.
Derniers commentaires