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Guy Fischer : un chemin hors du commun

Les drapeaux seront mis en berne à Vénissieux, vendredi, jour des obsèques de Guy Fischer. Alors qu’un livre d’or est ouvert à l’hôtel de ville, un hommage public lui sera rendu ce vendredi 7 novembre à 14 heures, à la salle Irène-Joliot-Curie.

Les drapeaux seront mis en berne à Vénissieux, vendredi, jour des obsèques de Guy Fischer.  Alors qu’un livre d’or est ouvert à l’hôtel de ville, un hommage public lui sera rendu ce vendredi 7 novembre à 14 heures, à la salle Irène-Joliot-Curie.

Depuis samedi 1er novembre, jour de son décès, les déclarations ne cessent d’affluer. Après les réactions d’André Gerin et de Michèle Picard, que nous avons précédemment publiées, de nombreux autres  élus ou responsables politiques se sont exprimés. Nombreux sont également les responsables associatifs, dirigeants de clubs sportifs ou simples citoyens à nous avoir fait parvenir des témoignages, ou juste quelques mots, pour dire le respect qu’ils avait pour cet élu impliqué, proche des gens.

Le groupe communiste républicain et citoyen du Sénat

Les sénatrices et les sénateurs du groupe CRC saluent le sénateur qui a marqué et marquera la Haute Assemblée de son empreinte. Sa rigueur et son engagement lors de rudes batailles parlementaires atteignirent leur sommet lors du débat sur les retraites en 2012 où, durant trois semaines, il ne rata pas une seule séance, siégeant jour et nuit jusqu’à l’épuisement. Guy fut un parlementaire remarquable aux convictions fortes, mais toujours ouvert au débat avec chevillés au corps, la République sociale et un humanisme débordant.

Marie-Christine Burricand, Christian Falconnet, conseillers généraux de Vénissieux

Courage, lucidité, franchise, goût de la vie et des autres… ces qualités ont jalonné la vie politique de Guy Fischer et ont tracé sa ligne de conduite . Jusqu’au bout, il est resté parmi nous, amis et camarades, partageant nos combats comme il avait su si bien le faire pendant tant d’années. Il avait porté avec brio le mandat de conseiller général du Rhône pendant 26 ans, 15 ans avec Christian Falconnet (canton nord), passant en 2008 le flambeau à Marie-Christine Burricand (canton sud). Du Beaujolais à Condrieu, en passant par Givors et Vénissieux, il avait longuement parcouru le département et le défendait ardemment au Conseil général comme au Sénat. Il était naturellement du côté des femmes et hommes du peuple, des oubliés du système, des sans droits. Il n’a jamais oublié ses racines ouvrières, la chance qu’avait été pour lui l’école, son métier d’instituteur. Son parcours était fait de beaucoup de travail personnel. De premier adjoint à sénateur, de la Communauté urbaine au Conseil général, ses interventions combatives et intelligentes marquaient ces assemblées. Contre l’injustice, il n’a jamais manqué une bataille. Il était toujours présent auprès des salariés, relayant leurs luttes jusqu’au sénat. Vénissieux était pour lui une passion, il aimait cette ville pour laquelle il voulait le meilleur. Profondément humain, il partageait le vie des habitants, joies et peines et sa porte leur était toujours ouverte notamment au travers de ses permanences régulières. Il puisait sans doute beaucoup de force dans ces multiples rencontres, ces moments simples de fraternité et de convivialité auxquels il a tenu à participer tant que ses forces le lui ont permis. Nous aurions aimé que la maladie l’épargne encore un peu, cela n’a pas été possible. Nous pensons à ses proches et leur adressons nos plus sincères et affectueuses condoléances.

Les communistes de Vénissieux

C’est bien un coup de massue qui frappe ses proches et tous ses camarades de combat, qui retentit pour des milliers de Vénissians qui le connaissaient pour sa présence et son action déterminée et constante pour la ville, les droits des travailleurs, la sécurité sociale, les droits des sans papiers, et tous les combats sociaux et politiques qu’il menait avec le groupe communiste au Sénat. (…) Avec André, il avait co-dirigé le comité de soutien à la liste conduite par Michèle Picard en mars 2014 jusqu’à ce succès qu’il avait fêté comme si la maladie n’était pas là. Nous espérions que les joies et les rires de cette victoire lui faisaient du bien, tout en sachant qu’ensuite l’attendait dans le privé les traitements lourds et leurs douleurs. La République lui rendra un hommage mérité et nécessaire, et tous ceux qui l’ont combattu vont reconnaître un temps la valeur de ce militant et dirigeant qui a démontré que le peuple avait sa place aux plus hautes fonctions de l’Etat, préfigurant ainsi une autre société, libérée de la domination de toutes les oligarchies. Mais les communistes vénissians, les élèves de cet instituteur des Minguettes, les habitants qui le rencontraient sur le marché ou dans ses permanences, auront une pensée particulière dans ces cérémonies officielles. Nous allons continuer ce que portait Guy Fischer, nous allons continuer l’histoire de cette ville belle et rebelle qu’il représentait partout, et nous retrouverons de nouveaux parlementaires communistes vénissians qui poursuivront son combat.

Gilles Roustan et les élus écologistes du conseil municipal

Guy était un humaniste profond, un militant sans faille en faveur des droits humains, un homme intègre et dévoué au service de la collectivité. Les écologistes vénissians se souviennent d’un élu de terrain qui avait une grande conscience des réalités sociales de Vénissieux et qui se battait sans relâche pour une plus grande équité sociale.

Thierry Vignaud, adjoint au maire de Vénissieux ; Martine Souvignet, secrétaire nationale du Mouvement Républicain et Citoyen

Le MRC rend hommage à l’engagement sans faille de Guy Fischer auprès de la population vénissiane depuis près de 40 ans ; c’était un élu local et national fidèle à ses idéaux politiques, attentif à la parole des habitants de Vénissieux, sachant prendre en compte leurs demandes. Tout au long de ces décennies d’un travail politique de proximité, il a gardé une disponibilité aimable et souriante pour chacun d’entre eux. Vice-président du Sénat, il a su porter haut les couleurs des banlieues lyonnaises sur les bancs de la haute assemblée. Les militants et responsables du MRC garderont le souvenir d’un élu humaniste ouvert au dialogue politique.

Idir Boumertit, adjoint au maire de Vénissieux et président du groupe Parti de gauche et apparentés ; le Parti de gauche du Rhône et les élues du Conseil régional

Idir Boumertit salue “la force d’âme avec laquelle Guy Fischer a combattu la maladie depuis près de trois ans, et le cœur avec lequel il s’est dévoué pour l’intérêt général ». Le Parti de gauche du Rhône et ses élues régionales « saluent la constance et la sagesse avec lesquelles il a servi l’intérêt général toutes ces années, ainsi que la fidélité des convictions d’un homme profondément républicain ».

Les élus socialistes, radicaux et apparentés et la section socialiste de Vénissieux

Chacun à Vénissieux connaissait sa silhouette et son sourire qui avaient fait de lui un des élus les plus respectés et appréciés. Adjoint au maire, conseiller général, conseiller régional, conseiller communautaire, le Sénat ne pouvait qu’accueillir ce passionné de la chose publique. Parlementaire pendant près de vingt ans, il fut logiquement élu vice-président du Sénat. Il était devenu l’un des Vénissians les plus reconnus dans le monde politique national. Sa formation d’instituteur public se lisait dans son attachement au dialogue et à l’explication de ses engagements, qualités qui font l’honneur des hommes politiques. Homme de valeurs, il avait montré tout au long de sa carrière son attachement à l’intérêt général ainsi qu’au respect de la parole donnée. Vénissieux perd un humaniste, un homme d’union, de dialogue et d’ouverture.

Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon

Guy Fischer était connu de tous pour son dévouement pour ses concitoyens, son humanisme et sa capacité à transcender les clivages politiques traditionnels, toujours guidé par l’intérêt général et les valeurs de la République qu’il avait chevillées au corps. Enfant de l’école publique, il fut aussi un vice-président du Sénat engagé et apprécié de tous pour sa capacité à dialoguer avec toutes les formations politiques de la Haute assemblée où il laissera le souvenir d’un parlementaire exemplaire, avec qui on avait plaisir à travailler et échanger. À sa famille, à ses proches, je veux adresser, en mon nom personnel, et au nom de la Ville de Lyon mes plus sincères condoléances.

Jean-Jack Queyranne, président du Conseil régional Rhône-Alpes

Très souvent, nous avons partagé des combats communs au Grand Lyon et au Conseil général. C’était un homme aux convictions solides et qui les exprimaient sans sectarisme. D’une grande courtoisie, il était toujours soucieux de faire prévaloir l’intérêt général. Cela lui valait l’estime de tous les horizons politiques, notamment au Sénat où il était un parlementaire assidu. Je salue la mémoire d’un humaniste, d’un homme d’écoute et de dialogue, d’un militant sincère et d’un vrai républicain.

Jean-François Carenco, préfet du Rhône

Guy Fischer « a défendu tout au long d’un engagement sans faille durant trente-sept années, l’intérêt général et les droits de l’homme, thème qui lui tenait particulièrement à cœur ». M. Fischer était un « élu de terrain, de contact, un homme de vérité et de respect ».

David Kimelfeld, premier secrétaire de la fédération du Rhône du Parti socialiste

À Vénissieux comme au Sénat, cet ancien instituteur a toujours su placer son action au service de la justice et du dialogue. C’est une grande voix de la gauche que nous perdons dans le Rhône. En mon nom et au nom du Parti socialiste, j’adresse à sa famille et à ses proches mes plus sincères condoléance ».

Armand Creus, conseiller régional Front de Gauche, pour le mouvement « Ensemble 69 »

Disponible, toujours sur la brèche, c’est jusqu’à la limite de ses forces que Guy Fischer aura vécu son engagement en intervenant dans les institutions comme sur le terrain auprès des militants associatifs, syndicalistes, de tous les « sans droits » et aussi, dans le combat pour la reconnaissance du peuple palestinien. Guy Fischer attirait le respect, même chez ses adversaires politiques et il était un passeur de la même trempe que son camarade Jean-Pierre Brunel. Nous ne l’oublierons pas.

Roger Gay, président départemental, le comité du Rhône de l’ANACR et Ami-e-s de la Résistance

 Nous garderons de Guy Fischer le souvenir d’un homme, d’un élu disponible, attentif dont les qualités d’écoute étaient grandes. Homme de conviction, il était un combattant infatigable des droits de l’homme en France et de par le monde, rejetant tout racisme, toute xénophobie, toute haine. Il était fortement engagé dans les combats contre les résurgences des idées fascistes. Son attachement aux valeurs de la Résistance s’était traduit par le combat qu’il a mené au Sénat pour la reconnaissance officielle du 27 mai, date anniversaire de la création du Conseil National de la Résistance, comme Journée nationale de la Résistance. Adhérent fidèle de l’ANACR, il ne manquait jamais d’apporter son soutien à toutes nos initiatives pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne pas. Il avait d’ailleurs tenu en février 2014 à remettre à notre comité départemental la Médaille d’honneur du Sénat. La maladie aura eu raison de son combat, mais sa disparition n’effacera pas de nos mémoires cet élu communiste qu’il fut et le grand homme qui savait rassembler largement, sans sectarisme et forcer le respect.

Mission Ouvrière Locale de Vénissieux (Action Catholique des Enfants, Jeunesse Ouvrière Chrétienne, Action Catholique Ouvrière, Rencontres Fraternelles, prêtres et religieuses en monde ouvrier)

Nous gardons de Guy la figure d’un homme au service des Hommes, d’un militant sans faille pour une plus grande justice sociale.

Guy n’a jamais dans son action publique négligé « les enseignements les plus importants de la loi, tels que la justice, la bonté et la fidélité » (Mathieu 23.23). Juste, par ses combats sans relâche pour les plus faibles d’entre nous, bon, par son profond et sincère humanisme, fidèle à son engagement pour une meilleure répartition de la richesse, il a toujours été un acteur de fraternité.

En union de prière avec sa famille et ses proches. Fraternellement.

Collectif 69 de soutien au peuple palestinien

Un grand homme vient de nous quitter. Guy aura été de tant de combats. Parmi ceux-ci sa constante défense des droits et de la justice pour le peuple palestinien, et le soutien amical qu’il apportait à notre collectif. Encore ces dernières semaines, malgré sa terrible maladie, dans la chaleur de l’été, il était au cœur des manifestations contre les massacres de Gaza et apportait tout son soutien comme citoyen et sénateur du Rhône. Guy Fischer a été un compagnon attentif et fidèle des valeurs humaines. De l’Afrique du sud hier au peuple palestinien aujourd’hui, nous ne le remercierons jamais assez d’avoir accompagné la marche d’un peuple vers sa liberté.

Jérôme Faÿnel – Collectif 69 de soutien au peuple palestinien

Merci, Guy, pour ton humanité et ta constante présence aux côtés de ceux et celles qui luttent. Merci d’avoir accompagné le peuple palestinien, même lorsque les forces te manquaient. Merci d’avoir, encore cet été, crié avec nous ton indignation face aux crimes. Salut l’ami.

Alain Reale, ancien président de l’ASM

Au-delà de sa fonction politique, Guy Fischer a toujours été avant tout un ami pour moi. Quand on se voyait, on n’abordait pas ce type de sujet. Les discussions portaient sur tout, l’état et l’avenir du club, le nombre de licenciés, le tournoi des champions en herbe… Il aimait l’ASM comme il aimait les Minguettes et Vénissieux. Je me souviens qu’on l’avait invité à la piscine Delaune, je ne sais plus à quelle occasion… On s’était permis de le balancer dans la flotte, on était en plein délire. On était jeunes. On perd un ami. Guy ? Juste quelqu’un de bien.

Maurice Persch, ancien président de l’USV

Mon premier souvenir date d’il y a plus de 35 ans. J’étais élève au lycée technique, boulevard Pinel. Et Guy était pion. Un pion autoritaire, à cheval sur la discipline. Plus tard, je l’ai bien évidemment connu dans d’autres circonstances. Une anecdote pour situer sa gentillesse : pour être présent à un anniversaire de l’USV, il avait retardé d’au moins deux heures un événement familial important qui l’attendait… François Couturier Profondément peiné par la disparition de Guy qui est resté jusqu’au bout proche des personnes et de leurs préoccupations. Un homme politique comme on les aime.

Jean-Paul Vezant, ancien proviseur du collège Paul-Éluard

Un homme d’ouverture dont on aimerait que tous nos politiques s’inspirent pour ses qualités humaines et hautement sociales. Il a toujours su dans son agenda très chargé, accorder du temps aux jeunes Vénissians dont j’avais la charge, pour valoriser leur travail, notamment dans les relations de partenariat que notre établissement entretenait avec les entreprises de la ville.

Bernard Pïntureau,  Association de promotion du front de gauche à Vénissieux et dans ses environs (APFG-VE)

Avec le décès de Guy, les gens ordinaires, ceux qui ne cherchent pas à exercer une domination sur leurs semblables, ont perdu une voix importante. Ils ont perdu, comme l’Association de Promotion du Front de Gauche à Vénissieux et dans ses Environs, une oreille attentive grandement ouverte aux changements nécessaires pour vivre mieux, libres et en paix dans un monde sans cesse plus complexe. Nous te regrettons. Adieu Guy !

1 Commentaire

  1. Jérôme FAYNEL

    7 novembre 2014 à 12 h 17 min

    En ce 7 novembre, une cérémonie d’hommage à Guy Fischer a lieu à Vénissieux. Outre notre participation, quelques mots encore pour évoquer ce grand Monsieur.

    Hommage à Guy Fischer Notre ami, notre camarade

    Nous ne connaissions pas le Sénat ou si peu Nous ne le connaissons pas mieux aujourd’hui. Mais nous avons rencontré un sacré (pardonne nous la référence au sacré), sénateur.

    Nous connaissions les expressions lorsqu’on galéje Le fameux « train de sénateur » Et bien dis donc, Guy tu les auras bien fait mentir, ces galéjades Ton train à toi c’est le TGV ou plutôt les E.G.V Les « Engagement à Grande Vitesse » Et à haute intensité.

    On t’imagine bien, adepte du bel ouvrage Ciselant les textes et les décortiquant Menant bataille au pupitre Arc-bouté pour placer l’Humain Dans le corps et au cœur des textes, L’Humain avec un grand H. L’Humain et l’Humanité toujours au cœur des batailles.

    Tu as su donner toutes ses lettres de noblesse à l’engagement En répondant tant de fois, oui et présent A l’heure ou trop souvent le P de Politique résonne à la rubrique du discrédit

    A l’heure ou trop souvent le mandat sonne, pour certain, en « mandat cash »

    Et trop souvent en prébendes

    Tu étais là simplement, habité et engagé, par la fonction, à ta manière Mais sans ménager ta peine

    Mais aussi et surtout n’abandonnant, comme une évidence, jamais le terrain

    La lutte, les luttes forment l’abécédaire de tes engagements

    Et puis bien sûr, t’en as pas beaucoup loupé

    De ces manifs, ces rassemblements ces meetings, ces réunions…

    Car, comme le disait l’ami Jean Ferrat, « En groupe en ligue en procession A pied à cheval et en voiture Avec des gros des p’tits des durs Tu es de ceux qui manifestent »

    Tu en as avalé et usé du bitume

    Si tu avais eu un podomètre

    Sûr, que tu gagnais haut la main les J.O des manifs catégorie « élus » voir, toutes catégories.

    Alors nous sommes sûr que peu d’enjeux de nos sociétés ne t’ont laissé indifférent

    Peu ou pas ne t’auront échappés.

    Du plus prêt, à Vénissieux, au plus loin en Afrique du Sud

    Tu as accompagné les grands moments de l’histoire

    La petite Histoire, en apparence, et la grande … et c’est bien, ce qui fait ta grandeur à toi.

    Alors merci pour tout cela

    Merci pour tes présences et ton amitié

    Avec toi, nous gardons la conviction, comme le disait André Breton « Qu’ il faut que l’homme passe, avec armes et bagages, du côté de l’homme »

    Merci d’avoir répondu à nos appels en faveur du peuple palestinien

    Merci d’avoir été à ses côtés

    Merci d’avoir puisé au fond de tes forces pour, cet été, être là, encore

    Empruntant au grand poète Mahmoud Darwich

    « Nous souffrons d’un mal incurable qui s’appelle l’espoir.

    Espoir de libération et d’indépendance.

    Espoir d’une vie normale où nous ne serons ni héros, ni victimes.

    Espoir de voir nos enfants aller sans danger à l’école.

    Espoir pour une femme enceinte de donner naissance à un bébé vivant, dans un hôpital, et pas à un enfant mort devant un poste de contrôle militaire.

    Espoir que nos poètes verront la beauté de la couleur rouge dans les roses plutôt que dans le sang.

    Espoir que cette terre retrouvera son nom original : terre d’amour et de paix ».

    Merci, cher Guy, d’avoir porté avec nous le fardeau de cet espoir.

    Jérôme FAYNEL « Collectif 69 de soutien au peuple palestinien »

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