En 2014, 70 000 autres places sont prévues. Le ministre du Travail, Michel Sapin, a fait une courte étape à l’AFPA, le lundi 30 septembre, pour vanter les mérites de ce dispositif d’urgence. Dans le centre de formation professionnelle des adultes de Vénissieux, 50 stagiaires l’ont déjà intégré. Le ministre s’est entretenu une quinzaine de minutes avec un groupe de futurs “gestionnaires de paye”, un des métiers qui connaît des difficultés de recrutement dans la région. L’AFPA forme également dans ce cadre des assistants en ressources humaines et des techniciens en maintenance informatique.
S’il a dit “ne pas partager les incantations de ceux qui prétendent que plusieurs centaines de milliers d’emplois ne seraient pas pourvus”, Michel Sapin ne conteste pas la réalité. “Il y a un vrai potentiel, que nous avons quantifié, identifié, et ce dispositif est une réponse concrète. C’est le maillon manquant, en attendant que la réforme de la formation professionnelle que nous avons enclenchée produise ses effets.”
Jean-Jack Queyranne, président du Conseil régional et à ce titre cofinanceur du dispositif en Rhône-Alpes*, a précisé que “15 000 à 20 000 emplois vacants ont été repérés dans les huit départements rhônalpins”. Dans le Rhône, le principal bassin d’emplois, les manques concernent des métiers peu qualifiés ou manuels (services à la personne, sécurité, BTP, restauration, espaces verts…) mais également des professions plus qualifiées, en particulier dans les domaines de la comptabilité et de l’informatique. “D’ici à la fin de l’année, 3500 chômeurs de Rhône-Alpes seront entrés dans le dispositif des formations prioritaires”, a indiqué M. Queyranne.
Cette visite du ministre du Travail aura eu le mérite, par ailleurs, de mettre en lumière l’importance du rôle de l’AFPA pour répondre aux besoins de formation sur le territoire. Michel Sapin, qui s’est brièvement entretenu avec des responsables syndicaux, n’a d’ailleurs pas manqué de rendre hommage à l’organisme national qui a traversé des heures sombres sous le précédent gouvernement : “L’AFPA est un outil de formation fondamental, décisif, qui a pourtant failli disparaître. Ce qui aurait été dommageable, on le voit aujourd’hui avec le rôle que joue la structure dans la mise en œuvre de notre plan de formations prioritaires pour l’emploi.”
* En Rhône-Alpes, le dispositif est financé par l’État et la Région à hauteur de 4,3 millions d’euros chacun, ainsi que par l’Agefiph (Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées) pour 2 millions, et par les partenaires sociaux.
Mauger Irma
8 octobre 2013 à 14 h 14 min
Monsieur Sapin devrait passé par la Haute Normandie, car déjà pour avoir un entretien pour une formation il faut batailler durant plus de 2 ans! Et quant on arrive a décrocher une place et qu’on remplit les dossiers pour son entrée et son financement c’est le conseil régional qui bloque en se demandant si on doit faire cette formation partiellement ou totalement.
Je ne trouve cela pas normal, sans diplôme on ne peut pas trouvée de travail et après on se plein qu’il y a trop de chômeurs mais la faute a qui ?
Mauger Irma
8 octobre 2013 à 14 h 14 min
Monsieur Sapin devrait passé par la Haute Normandie, car déjà pour avoir un entretien pour une formation il faut batailler durant plus de 2 ans! Et quant on arrive a décrocher une place et qu’on remplit les dossiers pour son entrée et son financement c’est le conseil régional qui bloque en se demandant si on doit faire cette formation partiellement ou totalement.
Je ne trouve cela pas normal, sans diplôme on ne peut pas trouvée de travail et après on se plein qu’il y a trop de chômeurs mais la faute a qui ?
Mauger Irma
8 octobre 2013 à 14 h 14 min
Monsieur Sapin devrait passé par la Haute Normandie, car déjà pour avoir un entretien pour une formation il faut batailler durant plus de 2 ans! Et quant on arrive a décrocher une place et qu’on remplit les dossiers pour son entrée et son financement c’est le conseil régional qui bloque en se demandant si on doit faire cette formation partiellement ou totalement.
Je ne trouve cela pas normal, sans diplôme on ne peut pas trouvée de travail et après on se plein qu’il y a trop de chômeurs mais la faute a qui ?
Mauger Irma
8 octobre 2013 à 14 h 14 min
Monsieur Sapin devrait passé par la Haute Normandie, car déjà pour avoir un entretien pour une formation il faut batailler durant plus de 2 ans! Et quant on arrive a décrocher une place et qu’on remplit les dossiers pour son entrée et son financement c’est le conseil régional qui bloque en se demandant si on doit faire cette formation partiellement ou totalement.
Je ne trouve cela pas normal, sans diplôme on ne peut pas trouvée de travail et après on se plein qu’il y a trop de chômeurs mais la faute a qui ?
Marie Rodriguez
1 octobre 2013 à 18 h 11 min
De qui Michel Sapin avait peur en venant à Vénissieux pour mobiliser un compagnie de CRS plus un canon a eau, des chômeurs, des salariés de l’AFPA, des Vénissians ?
A un an des municipales, la visite avait des relents électoralistes.
Quant aux salariés de l’AFPa, sont-ils sauvés pour autant ? seul l’avenir le dira.
Marie Rodriguez
1 octobre 2013 à 18 h 11 min
De qui Michel Sapin avait peur en venant à Vénissieux pour mobiliser un compagnie de CRS plus un canon a eau, des chômeurs, des salariés de l’AFPA, des Vénissians ?
A un an des municipales, la visite avait des relents électoralistes.
Quant aux salariés de l’AFPa, sont-ils sauvés pour autant ? seul l’avenir le dira.
Marie Rodriguez
1 octobre 2013 à 18 h 11 min
De qui Michel Sapin avait peur en venant à Vénissieux pour mobiliser un compagnie de CRS plus un canon a eau, des chômeurs, des salariés de l’AFPA, des Vénissians ?
A un an des municipales, la visite avait des relents électoralistes.
Quant aux salariés de l’AFPa, sont-ils sauvés pour autant ? seul l’avenir le dira.
Marie Rodriguez
1 octobre 2013 à 18 h 11 min
De qui Michel Sapin avait peur en venant à Vénissieux pour mobiliser un compagnie de CRS plus un canon a eau, des chômeurs, des salariés de l’AFPA, des Vénissians ?
A un an des municipales, la visite avait des relents électoralistes.
Quant aux salariés de l’AFPa, sont-ils sauvés pour autant ? seul l’avenir le dira.