La colonne vertébrale de ce “Cœur de ville” sera constituée par le boulevard Ambroise-Croizat, de son intersection avec l’avenue Marcel-Houël jusqu’à la Gare de Vénissieux. Sur ces quelques centaines de mètres viendront se greffer de nouveaux logements, des centres commerciaux, de l’activité économique, peut-être un établissement scolaire de troisième cycle. Michèle Picard l’a répété à plusieurs reprises au cours de la soirée : “On ne fait plus la ville comme il y a trente ou quarante ans avec le logement d’un côté, l’emploi de l’autre… Aujourd’hui on privilégie la mixité des fonctions.”
S’il fallait dégager une dominante des interventions du public, ce serait l’inquiétude du bétonnage et d’une trop forte densité de population. “Il est vrai que nous avons retrouvé un vrai dynamisme démographique et immobilier ces dernières années. Et je comprends que ces nouveaux projets puissent susciter des craintes, a répondu le maire. Mais il faut ramener les choses à leur juste mesure : nous ne sommes que 62 000 habitants, alors qu’en 1975 nous étions près de 75 000. Par ailleurs il faut savoir que toute ville traversée par une ligne de transports en commun structurante connaît une densification urbaine.”
Comme le rappelait l’architecte Bruno Dumetier, auteur de l’étude “Cœur de ville”, “l’intérêt d’un document comme le PLU-H c’est précisément de se doter d’un outil pour maîtriser la complexité du développement urbain.” Les grandes orientations sont définies. Il s’agit aujourd’hui de dire comment on les met en œuvre, dans quel cadre réglementaire. “Aidez-nous à construire la ville”, a lancé en conclusion Michèle Picard.
* L’exposition est également visible à la mairie annexe du Moulin-à-Vent et à la Maison du projet (avenue Jean-Cagne). Jusqu’à mi-2015, les habitants pourront notifier leurs remarques dans des cahiers de concertation ouverts à l’hôtel de la communauté urbaine et à la Direction de l’urbanisme de la Ville de Vénissieux. La concertation se fait aussi sur internet, sur le site dédié au PLU-H : www.grandlyon.com/mavilleavenir
Le bilan de la concertation préalable se fera fin 2015. Le projet sera alors arrêté avant d’être soumis à enquête publique durant l’année 2016.
Proprio
8 septembre 2013 à 7 h 24 min
La circulation sur l’avenue Charles de Gaules est infernale et il faudrait prévoir de ralentir (dodane, panneaux, mannequin simulant un enfant traversant l’avenue Charles de Gaules) ou changer le mode de circulation. Par ailleurs il n’y a que peu de commerces à distance de la gare de Parilly. Pourquoi pas des commerces dans ou à sa sortie ?
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8 septembre 2013 à 7 h 24 min
La circulation sur l’avenue Charles de Gaules est infernale et il faudrait prévoir de ralentir (dodane, panneaux, mannequin simulant un enfant traversant l’avenue Charles de Gaules) ou changer le mode de circulation. Par ailleurs il n’y a que peu de commerces à distance de la gare de Parilly. Pourquoi pas des commerces dans ou à sa sortie ?
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8 septembre 2013 à 7 h 24 min
La circulation sur l’avenue Charles de Gaules est infernale et il faudrait prévoir de ralentir (dodane, panneaux, mannequin simulant un enfant traversant l’avenue Charles de Gaules) ou changer le mode de circulation. Par ailleurs il n’y a que peu de commerces à distance de la gare de Parilly. Pourquoi pas des commerces dans ou à sa sortie ?
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8 septembre 2013 à 7 h 24 min
La circulation sur l’avenue Charles de Gaules est infernale et il faudrait prévoir de ralentir (dodane, panneaux, mannequin simulant un enfant traversant l’avenue Charles de Gaules) ou changer le mode de circulation. Par ailleurs il n’y a que peu de commerces à distance de la gare de Parilly. Pourquoi pas des commerces dans ou à sa sortie ?