La ceinture rouge et blanche lui a été décernée par Michel Charrier, animateur des stages de l’école des cadres, 7e dan en 1997. Une cinquantaine de judokas avaient tenu à être de la cérémonie. Durant plus d’une heure, à travers leurs discours et ceux de Guy Fischer, vice-président du Sénat, ou de Christian Falconnet, conseiller général, on a découvert d’autres facettes de Fred Cessin, décrit comme un enseignant discret, travailleur, modeste et efficace. “Les Arts martiaux du Centre ont de la chance d’avoir un enseignant comme Fred, a déclaré Michel Charrier. Je ne me fais pas de souci sur la transmission du judo.”
“C’est une fierté pour nous et la Ville, et même un honneur d’être ici”, ont renchéri les deux élus à l’adresse du lauréat, vice-champion du monde des vétérans (35-39 ans) chez les moins de 73 kg il y a deux ans. Également impliqué comme enseignant au Pays de Gex, à Mions, Caluire et au Pôle espoirs de Lyon, Fred n’a pas oublié de remercier Jean-Marc Chautard, Philippe Oliva et Jamel El Kadi, des judokas vénissians qui l’ont aidé à obtenir sa ceinture. “Le judo, c’est avant tout une grande famille”.
andre berthet
29 février 2020 à 1 h 42 min
Je viens d’apprendre avec une grande tristesse le décès de Frédéric Cessin.
Toutes mes condoléances à sa famille et ses proches.