Le conseil de surveillance et de transparence du chauffage, qui rassemble des bailleurs sociaux, des amicales de locataires et des conseils syndicaux de copropriété (autrement dit les abonnés du réseau urbain de chaleur) s’est réuni le 15 novembre à l’hôtel de ville, en présence de Pierre-Alain Millet, adjoint au maire en charge du dossier, et de la SECV, société chargée de l’exploitation, pour faire le bilan de l’année 2009. Une année qui aura été marquée par l’arrêt définitif de la chaufferie bois, à la suite, on s’en souvient, de nombreux dysfonctionnements. Le bois étant parmi les énergies les moins chères, on pouvait s’attendre à un renchérissement de la facture. Les températures plutôt clémentes et un prix du pétrole modéré ont toutefois permis de limiter les dégâts. La consommation globale de chauffage du réseau a baissé de 4,8 %, et le prix moyen de la chaleur est resté stable (- 0,4 %). La facture de l’année 2010 en revanche sera plus salée.
L’hiver dernier a en effet été particulièrement rigoureux. Le prix des produits pétroliers a flambé (environ 40 % de hausse). Et la nouvelle chaufferie bois n’a commencé à fonctionner qu’au début de ce mois de novembre. Résultat : pour un appartement type avec une consommation moyenne, l’augmentation par rapport à 2009 devrait avoisiner les 250 euros.
Ce n’est qu’à partir de 2011 que les abonnés tireront le plein bénéfice de la nouvelle chaufferie bois, qui fournit désormais 40 % des besoins en chaleur du réseau. La part assurée par le fuel et ses dérivés baissera encore davantage quand la future chaufferie gaz sera mise en service, en novembre 2011. Cette quasi-sortie de la dépendance aux produits pétroliers devrait entraîner une réduction de la facture de l’ordre de 10 % (en se basant sur les prix d’avril 2010). Les prix pourraient baisser davantage encore avec la construction d’une seconde chaufferie bois. La municipalité vient de recevoir les conclusions de l’étude de faisabilité. Divers scénarios sont envisagés, qui prévoient des investissements allant de 6 millions à 11 millions d’euros, avec des perspectives de baisse de la facture variant de 7 % à 16 %.
Badel
16 novembre 2010 à 18 h 05 min
Effectivement nous avons nos charges qui ont augmentées à cause principalement du chauffage, c’est mon cas, je suis chez GIEP et l’ensemble des copropriétaires ont fait le même constat via les comptes détaillés que nous avons reçu.
Au niveau des charges globales je pense qu’il faut faire un compromis entre L’UNIS et L’ARC, ils nous présentent les deux extrêmes, le calcul d’une augmentation trop faible (0,9%), et l’autre trop haute (4%), à nous de prendre les devants et de calculer notre augmentation réelle et non pas des moyennes qui ne veulent rien dire.
Badel
16 novembre 2010 à 18 h 05 min
Effectivement nous avons nos charges qui ont augmentées à cause principalement du chauffage, c’est mon cas, je suis chez GIEP et l’ensemble des copropriétaires ont fait le même constat via les comptes détaillés que nous avons reçu.
Au niveau des charges globales je pense qu’il faut faire un compromis entre L’UNIS et L’ARC, ils nous présentent les deux extrêmes, le calcul d’une augmentation trop faible (0,9%), et l’autre trop haute (4%), à nous de prendre les devants et de calculer notre augmentation réelle et non pas des moyennes qui ne veulent rien dire.
Badel
16 novembre 2010 à 18 h 05 min
Effectivement nous avons nos charges qui ont augmentées à cause principalement du chauffage, c’est mon cas, je suis chez GIEP et l’ensemble des copropriétaires ont fait le même constat via les comptes détaillés que nous avons reçu.
Au niveau des charges globales je pense qu’il faut faire un compromis entre L’UNIS et L’ARC, ils nous présentent les deux extrêmes, le calcul d’une augmentation trop faible (0,9%), et l’autre trop haute (4%), à nous de prendre les devants et de calculer notre augmentation réelle et non pas des moyennes qui ne veulent rien dire.
Badel
16 novembre 2010 à 18 h 05 min
Effectivement nous avons nos charges qui ont augmentées à cause principalement du chauffage, c’est mon cas, je suis chez GIEP et l’ensemble des copropriétaires ont fait le même constat via les comptes détaillés que nous avons reçu.
Au niveau des charges globales je pense qu’il faut faire un compromis entre L’UNIS et L’ARC, ils nous présentent les deux extrêmes, le calcul d’une augmentation trop faible (0,9%), et l’autre trop haute (4%), à nous de prendre les devants et de calculer notre augmentation réelle et non pas des moyennes qui ne veulent rien dire.